S'identifier - S'inscrire - Contact

Aménagement du territoire et urbanisme

 Retrouvez tous les anciens articles via ce lien.

Recherche


Archive : tous les articles

Nous collaborons avec...


Justification de la mise à 50 Km/h sur la chaussée de Wavre

• Aménagement du territoire et urbanisme • Mardi 25/04/2017 • 0 commentaires • Version imprimable

Mots-clés : ,


Consultez les cartes:

Voir également la Situation générale de la N268 et N25

Caractère local

Les travaux effectués sur la N.25 avaient pour but de rendre la N268 au trafic local comme l’évoquait en son temps, M. Jean-Marc Jadot, ingénieur responsable des travaux au ministère de l'Equipement et des Transports : "Le but principal était de créer cette liaison (NdlR : -Libération). Sur la nouvelle chaussée de Wavre, il ne restera pratiquement plus que le trafic local »

Son objectif : amener les automobilistes à contourner les agglomérations situées le long de la chaussée de Wavre et reporter le trafic venant de Louvain sur la RN 25. La circulation de transit à ,   ou encore Basse-Wavre devrait donc diminuer. "Le but principal était de créer cette liaison (NdlR : -Libération). Sur la nouvelle chaussée de Wavre, il ne restera pratiquement plus que le trafic local, explique Jean-Marc Jadot, ingénieur responsable des travaux au ministère de l'Equipement et des Transports, le maître d'oeuvre. Il reste à réaliser des travaux annexes. Ceux-ci devraient encore continuer jusqu'au mois d'août, sans aléas météo. Il faudra encore réaliser un rond-point et la traversée d' ."  La Libre -mardi 22 mai 2007 [1].

Traversées multiples pour des modes doux

La traversée de la chaussée est nécessaire pour relier  des zones particulièrement sensibles comme des écoles ou des centres sportifs (Centre sportif, Ecole de foot) ou pour jeunes.

Certains carrefours non protégés par des feux sont fortement sollicités pour des circulations de transit (exemple la zone 6)

Augmentation de la convivialité :

En agissant sur la vitesse, nous pouvons diminuer la pression sonore de manière importante, tant pour les riverains directement concernés que pour les habitants des quartiers adjacents, mais pour les usagers en modes doux.

Entre 130 et 50 km/h, les émissions sonores diminuent avec la vitesse. Dans ce régime de vitesses, le contact entre les pneus et la chaussée devient la principale source de bruit[2].

Sur un axe relativement fluide circulé à plus de 80 km/h, une réduction de la vitesse agira sur le bruit de roulement de l’ensemble des véhicules, à condition que cet abaissement soit significatif. Le gain sonore attendu pour une diminution de 20 km/h de la vitesse sera de l’ordre de 3 dB(A), soit autant qu’une division par deux du volume de véhicules[3].

Une vitesse excessive peut provoquer deux types d’insécurité : l’insécurité dite objective, que l’on mesure à partir des rapports d’accidents, et l’insécurité dite subjective, qui correspond à la perception de la population. (source Région wallonne).

Conclusions

La mise à 50 km/h est la conséquence logique des travaux effectués sur la N25. Le trafic à privilégier sur la N268, particulièrement entre la zone 1 et la zone 7, est un trafic local. Si des aménagements ou des adaptations sont sans doute souhaitables pour contenir le trafic de transit indésirable, une vitesse limitée constitue une partie de la solution.
 

D'autres articles sur cette thématique.

Ouvrir le débat


Pour en savoir sur cette initiative

Le métier de citoyen est un métier à temps plein. Comment l'exercer sans être informé?

Régulièrement, nous sommes confrontés comme citoyens ou comme associations à des dossiers ou des demandes plus ou moins complexes pour des problèmes liés à l'environnement, la , l'. la , sur lesquels nous estimons devoir donner un avis. Les enquêtes publiques, les travaux de commissions diverses, les débats politiques nécessitent souvent un suivi, voire une intervention. La plupart du temps, en ordre dispersé, nous essayons d'y répondre.

Pour nous permettre à tous d'avancer, l'idée a été
  • de créer une plateforme informelle de citoyens et d'associations, qui au gré de leurs intérêts et du temps dont ils disposent consacreront du temps à suivre un dossier;
  • de créer un site internet sur lequel les participants peuvent intervenir en exposant un problème ou en diffusant une information, comme une enquête à une consultation publique.
Bien entendu, ces démarches se font dans un esprit constructif et pragmatique, en tenant compte des critères de développement durable et de respect dû au citoyen et en invitant à la concertation les différents acteurs concernés.

Conception et réalisation

Le site a été réalisé à la demande de citoyens par l'ASBL Epures dans le cadre de ses missions d'information et d'aide. L'ASBL n'est pas responsable des opinions formulées. L'ASBL assure également la coordination pratique de la plateforme.