Mots-clés : Héliport de Gottechain
Le fonctionnaire aborde les différents types de nuisances possibles. Il estime que la nuisance la plus préoccupante sera celle du bruit en avançant que « ces nuisances sont probables mais occasionnelles (un décollage et un atterrissage par semaine) mais sont maîtrisables et limitées dans le temps ». Cette affirmation est en contradiction avec la demande qui parle de 6 mouvements par jour (hors dimanche), soit 36 mouvements par semaine, plus éventuellement 2 le dimanche.
Quant à maîtriser les nuisances, il n’y a pas de contrôle en temps réel.
Quant à maîtriser les nuisances, il n’y a pas de contrôle en temps réel.
Le fonctionnaire poursuit en considérant que les autres nuisances doivent être considérées comme nulles et qu’aucun effet cumulatif n’est à craindre. Pourtant, la zone est considérée au schéma de structures comme une zone de liaisons écologiques (voir ceci). Par ailleurs, les habitants sont déjà soumis à un survol important d’avions en provenance ou en direction de Zaventem, au trafic de la base de Beauvechain et de bases ULM.
Nous considérons donc que ne pas demander une étude d'incidence ne peut se justifier.
(Notons que des avis doivent être demandés à différentes instances comme la DG04 et la DGTA.)
Compte tenu de cela, nous ne pouvons accepter la mise en place de ce projet.